Où sont les riches sont les armes

6 commentaires

• Paul Laurendeau

  (3 octobre 2010 @13h16) 

  :

  Où sont les riches sont les armes

  Bien peu "productives" toutes ces armes qui dorment. C’est que de plus en plus, enfait, on vous vend de la guerre en boîte…

  http://ysengrimus.wordpress.com/2008/06/30/qu%E2%80%99est-ce-que-le-bellicisme/

  Et en plus, on rogne les angles et on vous la fait, là aussi, à « payez plus, obtenez moins »… Paul Laurendeau

• Re nez

  (4 octobre 2010 @13h06) 

  :

  Où sont les riches sont les armes

  Les profiteurs de guerre sont les plus odieux des criminels. En 2011, l’Union pacifiste aura cinquante ans. Je me réjouis de voir qu’un média non alternatif relaie enfin les campagnes de l’Internationale des résistants à la guerre...

• aubin

  (4 octobre 2010 @14h34) 

  :

  Concernant les sources

  Il doit y avoir quelques contradictions dans les sources...

  Monsieur Rekacewicz écrit que les achats français sont relativement stable entre 2001 et 2009. Or le 3eme graphique donne une dépense de 32,9 milliards pour 46 milliard (d’après le 2nd) en 2004. Cela fait tout de même un augmentation de 40% en 3 ans. Ce qui laisse supposer que la France peut atteindre le doublement de ses dépenses entre 2001 et 2009...

• JH Morneau

  (5 octobre 2010 @11h38) 

  :

  Où sont les riches sont les armes

  J’ai été surpris en étudiant la carte des dépenses moyennes par soldat dans l’édition papier du Monde diplo (désolé, je ne l’ai pas sous les yeux, donc je ne peux pas préciser la page où se trouve cette carte).

  Israël y figure comme un pays consacrant autant d’argent par soldat que... le Burkina Faso ????

  Il y a manifestement une erreur...

• K.

  (6 octobre 2010 @21h01) 

  :

  Où sont les riches sont les armes

  Si les guerres stimulent l’économie à court terme, leur effet devient d’autant plus négatif à plus long terme qu’elles se prolongent affirme Dean Baker.

  La raison pour laquelle la guerre réduit la croissance et l’emploi est simple : elle draine les ressources de l’économie. L’argent qui sert à payer le logement et l’alimentation de nos soldats en Irak, ainsi que leur fourniture en armes, auraient plutôt dû être utilisé dans l’économie civile.

  Ce détournement est le plus évident lorsque nous imposons une taxe pour la guerre. Les taxes retireraient de l’argent des feuilles de paie des gens, leur donnant moins d’argent à dépenser et moins d’incitation à travailler.

  Bien sûr, nous n’avons pas augmenté les impôts pour payer la guerre, mais le gouvernement a emprunté de l’argent. Emprunter ne change pas le fait que la guerre impose un fardeau pour l’économie, cela ne modifie que le mécanisme.

  Suite aux détournements de ressources imposés par la guerre, les taux d’intérêt sont un peu plus élevés qu’ils ne le seraient si cette guerre n’existait pas. Les taux d’intérêt plus élevés découragent l’investissement, ce qui réduit l’emploi et signifie également que l’économie sera moins productive à l’avenir. Les effets négatifs des dépenses de guerre seront plus grandes au fur et à mesure que la guerre se prolongera.

  Pour une raison quelconque, personne n’a choisi de mettre en évidence les pertes d’emplois liées à l’augmentation des dépenses de défense. En fait, les pertes d’emplois attribuables aux dépenses de la défense n’ont probablement jamais été mentionnées dans le New York Times, le Washington Post, la National Public Radio, ou tout autre grand média. Il est difficile de trouver une bonne explication pour cette omission.

• Philippe Rekacewicz

  (20 novembre 2010 @01h26) 

  :

  Où sont les riches sont les armes

  @ Aubin

  Vous avez raison. J’ai vérifié, il y a un problème avec les sources que nous avons utilisé, qui divergent très sensiblement pour une raison que je n’ai pas encore élucidé. Dès que je trouve la source de l’erreur, je ferai un petit billet pour l’expliquer : sans doute un problème de sources primaires et secondaires mal retranscrites. Réponse très bientôt

  Concernant les sources

  Il doit y avoir quelques contradictions dans les sources...

  Monsieur Rekacewicz écrit que les achats français sont relativement stable entre 2001 et 2009. Or le 3eme graphique donne une dépense de 32,9 milliards pour 46 milliard (d’après le 2nd) en 2004. Cela fait tout de même un augmentation de 40% en 3 ans. Ce qui laisse supposer que la France peut atteindre le doublement de ses dépenses entre 2001 et 2009...